En 2018, 133 millions de titres-services ont été utilisés en Belgique, soit 2,5% de plus qu’en 2017, selon des chiffres de la fédération sectorielle Federgon.

 

En Flandre, 85,7 millions de titres-services ont été utilisés (+3,1%), 31,4 millions en Wallonie (+1,5%) et 15,9 millions dans la Région de Bruxelles-Capitale (+1%). «Nous pouvons conclure que le marché arrive progressivement à maturité, avec une croissance encore à peine plus élevée que la croissance économique», constate Federgon.

Un titre-services coûte neuf euros pour une heure, sans compter la déduction régionale.

Dans un memorandum présenté en juillet 2018, Federgon proposait de coupler le prix du titre-service à l’inflation et suggérait de supprimer la limitation du nombre de titres-services que l’on peut acheter par an, en la couplant à une augmentation du prix du titre au-delà de 500 unités commandées (à 11 euros par exemple). La fédération de prestataires souhaitait aussi voir les activités titres-services élargies aux petits travaux d’habitation ou de jardin.

 

sudinfo.be

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Faut-il corriger le système des titres-services vu l’importance de la main-d’œuvre étrangère? Franck Vandenbroucke jette un pavé dans la mare. Mais en Wallonie et à Bruxelles, il fait un flop.

Les entreprises de titres-services puiseraient-elles trop souvent leur main-d’œuvre à l’étranger, laissant sur le carreau les demandeurs d’emploi belges? C’est ce que sous-entendait hier l’ex-ministre sp.a Franck Vandenbroucke, dans une carte blanche publiée dans "De Standaard". C’est lui qui a créé le système dans les années 2000. Mais à ses yeux, il a dévié de sa cible.

A l’heure actuelle, dit-il, 42% des aides ménagères payées en titres-services par les ménages flamands sont étrangères. Selon lui, cela pose un réel problème en matière d’équilibre financier. Car en allant chercher la main-d’œuvre à l’étranger, on augmente les coûts budgétaires du système (et on ne résout pas le problème du chômage).

Selon Franck Vandenbroucke, il faudrait supprimer la réduction fiscale offerte aux familles afin d’investir les moyens libérés dans une "forte hausse de l’embauche des personnes restées un certain temps au chômage ou à l’assistance sociale en Belgique".

Au cabinet du ministre flamand de l’emploi Philippe Muyters, on confirme qu’il y a une hausse du nombre de personnes d’origine étrangère employées dans les titres-services: 48% en 2016, contre, 45% en 2013, dont 17,7% viennent de pays hors UE, et 6,2% d’origine inconnue. Faut-il pour autant agir? D’après le cabinet Muyters, non, car cela contreviendrait à la règle de libre circulation des travailleurs. "Et si un jour on proposait cela, tout le monde dirait que nous sommes racistes", dit le porte-parole du ministre.

Pas de problème en Wallonie et à Bruxelles

À Bruxelles, le problème ne se pose pas. Comme en Wallonie, il existe une règle qui impose aux entreprises titres-services d’embaucher au moins 60% de demandeurs d’emplois ou bénéficiaires du revenu d’intégration sociale. En Flandre, cette règle a été supprimée il y a deux ans, car les entreprises peinaient à trouver de la main-d’œuvre.

En Wallonie, 87% des travailleurs titres-services sont de nationalité belge.

Dans la capitale, la main d’œuvre peu qualifiée et féminine (le profil classique de l’aide ménagère) ne manque pas… "Seuls 10% des nouveaux travailleurs du secteur titres-services n’étaient pas inscrits comme demandeurs d’emplois, et provenaient donc généralement de l’étranger", explique le ministre bruxellois de l’emploi Didier Gosuin. En 2016 à Bruxelles, seuls 17% des travailleurs titre-service étaient d’origine non européenne, 26% belges, 56,8% issus d’un pays européen.

Pour le ministre, le débat ne se pose donc pas comme en Flandre. Et la région incite d’ailleurs les entreprises à embaucher des personnes venant de chez Actiris. "Celles qui respectent cette règle de 60% de demandeurs d’emplois, et qui offrent une formation à leur personnel, bénéficient de l’indexation de la part de l’intervention publique", explique encore Gosuin. De quoi inciter à puiser dans la main d’œuvre présente sur le marché bruxellois. Preuve irréfutable que cela marche, 70% des travailleurs titres-services de la région sont… bruxellois.

En Wallonie aussi, le cabinet du ministre de l’emploi Pierre-Yves Jeholet explique que le débat n’a pas lieu d’être. "87% des travailleurs titres-services sont de nationalité belge, dit le porte-parole de Pierre-Yves Jeholet. 12% proviennent d’un pays européen, 4% d’un pays hors UE."

Federgon, la fédération des entreprises de travail intérimaire (un des gros prestataires de titres-services), a réagi à l’idée émise par Franck Vandenbroucke. "Démanteler le système serait une très mauvaise idée. C’est un des rares secteurs qui parvient à insérer des personnes très éloignées de l’emploi dans des fonctions peu qualifiées. Et si 42% des personnes sont d’origine étrangère, il faut plutôt qualifier le secteur de modèle à cet égard", conclut Herwig Muyldermans, directeur de Federgon.

 

Source: L'Echo

 

Un an que la gestion des titres-services a été transférés aux Régions, et la régionalisation de ce pilier économique n’a pas fait dérailler la mécanique. La continuité a été assurée sans heurts majeurs et les particuliers peuvent toujours faire appel à des aides ménagères tout en les payant par chèque pour leurs services.

Le choix de la société émettrice a permis la continuité

Que ce soit à Bruxelles, en Flandre ou en Wallonie, tout roule donc et pour Arnaud Le Grelle, directeur Wallonie-Bruxelles de Federgon, ce n’est pas le fruit du hasard: "Je pense que le choix de la société émettrice, en l’espèce Sodexo, a permis la continuité puisqu’il était l’opérateur initial du temps du fédéral. Deuxièmement, parce que les Régions s’y sont préparées et ont assuré une bonne communication avec les entreprises. Et comme Federgon, je ne vous le cacherai pas, nous avions des lignes rouges, tant avec les Régions qu’avec les gouvernements et la société émettrice, afin de parer tous les jours aux centaines de questions, il s’agissait bien de centaines de questions, pour éviter d’avoir une interruption dans la continuité du système".
 

L’État y retrouve une part importante de sa mise

Un système celui des chèques-services a priori simple, mais qui repose sur tout un ensemble d’acteurs. Les aides ménagères auxquelles vous et moi pouvons faire appel sont employées par des sociétés de titres-services, qui sont elles-mêmes subventionnées par l’État, et ces subventions passent par une société maîtrise de titres, Sodexo en l’occurrence. Et l’État intervient lourdement, comme l'explique Arnaud Le Grelle: "Le client paye son aide ménagère à raison d’un chèque d’une valeur de 9 euros par heure prestée et l’État ajoutera pour cette heure prestée un montant de 22,36 euros, payés à l’entreprise. L’État est conscient que pour la remise au travail de personnes faiblement qualifiées, il faut un coup de pouce et ce coup de pouce est donné donc de manière financière par un soutien aux entreprises afin de rémunérer le personnel engagé. Mais l’État y retrouve une part importante de sa mise, qui est estimée entre 60 et 80 %, c’est donc moins cher que le paiement sur la même durée d’allocations de chômage".

Un demi-milliard de subvention en Wallonie

Car le succès des titres-services a dépassé toutes les espérances. Quand le ministre Vandenbroucke avait créé le système en 2004, il visait à créer 30 000 jobs et il y en a 150 000 aujourd’hui, soit cinq fois plus. Le secteur compte un millier de sociétés de titres-services et Federgon, qui représente ces sociétés, a comptabilisé quelque 388 000 ménages utilisateurs. Quant à la subvention publique, elle frôle le demi-milliard en Wallonie et le milliard d’euros en Flandre. Un système qui fonctionne, y compris depuis son transfert aux Régions.

 

source: rtbf.be

De nouvelles règles pour vos titres-services
 
Depuis le 1er mars 2017, de nouvelles règles s’appliquent aux titres-services bruxellois, l’occasion unique de passer au titre-service électronique !
 
 
Quelles sont ces nouvelles règles ?

1/ Les titres-services bruxellois ont désormais une période de validité de 6 mois.

 

2/ Une entreprise agréée par la Région de Bruxelles-Capitale peut refuser le paiement des prestations de votre aide-ménagère via des titres-services papier, afin de favoriser le paiement par titres-services électroniques.

 

 source: sodexo
 

Pourquoi choisir de passer aux Titres-Services électroniques ?

Choisir le format électronique c’est opter pour la facilité et la rapidité ! En créant l’application « Titres-Services by Sodexo », Sodexo a facilité l’utilisation des Titres-Services électroniques pour ses utilisateurs. La gestion du Titre-Service électronique devient intuitive et rapide. En quelques clics, vous pouvez visualiser votre solde et l’historique de votre consommation. À tout moment, vous avez la possibilité de valider les prestations de votre aide-ménagère. Dans le menu de cette application, vous accédez aussi au quota annuel auquel vous avez droit et au nombre de Titres-Services dont vous pouvez encore bénéficier cette année.